Le vin entre en guerre. Une boisson omniprésente et sous contrôle - Une diplomatie du vin sous influence - Bad Kreuznach, le dernier Congrès international du vin - Le vin de la « drôle de guerre » - Le « vin chaud du soldat ». La ruée vers le vin. Le choc de la défaite et l'effervescence commerciale - Les Weinführer et l'avènement d'un ordre nouveau - La collaboration de la mule et du cocher - La réorganisation des vignobles - Marché administré et marché noir. Le grand basculement. Les difficultés de la nouvelle campagne et le retour du prohibitionnisme - Le vin français vu d'Allemagne - Vers la fin du « statut viticole » ? - Le tournant de l'automne 1942. Le triomphe des appellations d'origine contrôlée. Le Comité national des appellations d'origine à l'épreuve. Les temps heureux de la défaite. Marché noir et bureaux d'achat nazis - Que voulez-vous... C'est le commerce ! - Je suis un « collaborateur- né » ! - Des vins français pour les « armes secrètes » d'Hitler ? - Monaco, capitale mondiale du commerce des vins. L'ivresse de la guerre. Crise et mutations vitivinicoles - Vichy, l'agrarisme fasciste et la défense de la viticulture - En Bourgogne, la viticulture sans le négoce - En Champagne, l'effervescence d'un commerce prospère - Cognac et armagnac, au coeur du marché noir allemand - Bordeaux, plaque tournante du commerce national des vins. Toutes hontes bues. Fin de partie. Vers l'effondrement - Tourner la page de la guerre : la question de la « collaboration » avec l'ennemi - La collaboration ? Quelle collaboration ? - Trafics et connivences.