Gratisversand in Luxemburg ab 25€
Merkliste
Die Merkliste ist leer.
Der Warenkorb ist leer.
Gratisversand in Luxemburg ab 25 €
Gratisversand in Luxemburg ab 25€
Bitte warten - die Druckansicht der Seite wird vorbereitet.
Der Druckdialog öffnet sich, sobald die Seite vollständig geladen wurde.
Sollte die Druckvorschau unvollständig sein, bitte schliessen und "Erneut drucken" wählen.
Rapahël

Raphaël

Buchhandlungsleiter
Buchhändler
Telefon22 50 77 200

Meine Bewertungen

Retour très attendu et réussi de David Joy, un des auteurs les plus passionnants de sa génération. Le roman se situe en Caroline du Nord dans une petite bourgade ou Toya Gardner, afro-américaine étudiante en art , n'a de cesse de vouloir réhabiliter sa communauté et de lutter contre les discriminations. Militante très active , elle est la fierté de Vess sa grand-mère mémoire vivante et gardienne des secrets de cette petite communauté.Jusqu'au jour où Toya disparaît et qu'un deuxième crime est commis. Un suprematiste blanc, le Klukuxklan, un flic local proche de la retraite prit en tenaille entre son assistant corrompu et la famille de la victime qu'il connait depuis toujours, une gand-mére exemplaire et bouleversante, et une angoisse qui nous prend et ne nous lâche plus jusque la fin sublime et totalement inattendue. Comme toujours David Joy excelle dans la description de ses personnages, laissés pour compte et losers magnifiques s'affrontent sur fond de racisme et de lutte de pouvoir. Une écriture somptueuse qui nous percute de plein fouet et fait resurgir tous les fantômes d'une société divisée et violente ou semble survivre cette vieille idée de la loi du plus fort.
Nous sommes le 6 juin 1944, Jacques à 17 ans, enfant de l'assistance publique il décide de ne pas se rendre à la ferme où il a été placé et va rejoindre la résistance ou il va apprendre à vivre et survivre au milieu des complots et trahisons. C'est l'heure des règlements de compte , il va très vite réaliser qu'il ne peut avoir confiance en personne. En ces temps troublés et incertains Jacques va rencontrer l'amour en la personne d'un jeune soldat Américain qui va mourir dans ses bras. Cette rencontre passionnée et fusionnelle va changer à jamais le cours de son existence. Jacques va trouver le courage et la force de rompre les liens avec son passé et se réinventer une nouvelle vie ou pour la première fois il va se sentir pleinement exister sous une identité qui lui est propre. Après le très bon roman "La fête des mères" paru l'an passé, Richard Morgiève délaisse la chronique familiale quelque peu déjantée et nous surprend une nouvelle fois avec un roman plus historique, très nerveux ou la question de la place de l'homme dans l'histoire et la société nous interpelle au fur et à mesure que le récit prend forme et que la mission de Jacques se précise. Passionnant de bout en bout, le vrai premier coup de cœur de cette rentrée littéraire.
Ce nouveau roman de Simon Johannin confirme le talent et la maîtrise de ce jeune auteur déjà fort remarqué avec Nino dans la nuit également publié chez Allia. L´action se situe à Paris ou Théo déambule dans les rues de la capitale sans but précis . Alors qu´il vient d´être publié pour la première fois, il vit en parallèle sa première grande rupture amoureuse. Roman d´apprentissage au style fulgurant, parsemé de Punchlines assassines, une littérature résolument jeune, fraîche et libre ou les errements du jeune Théo partagé entre peur de l´inconnu et soif de découvertes nous transporte de Paris à Marseille. Bars glauques, boîtes de nuit où circulent toutes sortes de drogues se succèdent à un rythme effréné.Alors il boit pour oublier, il boit dans les salons du livre, il boit partout et tout le temps et de son malheur naît la poésie partagée entre tristesse et beauté, entre cauchemar rêve et réalité. Une atmosphère exaltée et nerveuse d'où surgissent les fantômes d´une jeunesse qui se cherche. Une lecture éprouvante mais fascinante qui laisse penser qu´un grand auteur est né.
Considéré comme l´un des plus célèbres romans de la littérature hongroise, Les Garçons de la rue Pal met en scène deux bandes d´enfants rivales se disputant un terrain vague au coeur de Budapest à la fin du XIXème siècle. Le roman décrit astucieusement les mécanismes qui mènent à la guerre à travers les regards et comportements d'enfants tous désireux d´en découdre au nom de valeurs telles que l´honneur, le courage ou la bravoure. Nous assistons progressivement à l'élaboration de plans et de stratégies qui vont mener tout droit à l´affrontement final. Quelques années avant le premier conflit mondial, Ferenc Molnar décrit avec subtilité et beaucoup d´émotions les différentes étapes qui poussent les hommes à la folie meurtrière. Et tout y passe, l´espionnage, la traîtrise, l´héroïsme,le pouvoir et l´intimidation.Au fil de la lecture, cette guerre menée par des enfants peut parfois nous rappeler La ferme des animaux d´Orwell écrit pourtant presque un demi siècle plus tard, De tous les romans qui ont trait à l´enfance, Les garçons de la rue Pal est à placer du côté des oeuvres intemporelles et universelles quelque part entre Tom Sawyer et Zazie dans le métro, ces grands romans sur l´innocence et le passage à l'âge adulte qui nous replonge avec nostalgie dans ce paradis perdu que fut notre enfance.

Délaissant cette fois-ci la Science-Fiction pour le document , le nouveau livre d'Alain Damasio nous plonge au coeur de l´effroyable réalité de la Silicon Valley en sept chapitres incisifs. Du siège d'Apple aux voitures sans chauffeurs, des Homeless et des ravages du Fentanyl dans le quartier du Tenderloin, il analyse, dissèque, observe les mutations en cours. Fidèle admirateur de Baudrillard, Deleuze et Guattari, tour à tour sociologue et philosophe, rien ne lui échappe.Et par ses constats empreints de lucidité il nous propose une vision du monde à venir à la fois effroyable et inéluctable ou la folie des hommes s´appuyant sur le développement de technologies ultra novatrices vont provoquer des bouleversements sans précédents; la déshumanisation est d´ores et déjà omniprésente dans notre quotidien et ne va que progresser tranquillement au coeur de nos sociétés . Damasio tire la sonnette d´alarme en nous faisant passer le message que la Science Fiction qui nourrit son oeuvre depuis toujours devient réalité ou plutôt cauchemar dans cette vallée du silicone qui ne connaît plus de limites. Cet essai se termine avec une nouvelle absolument fascinante et terriblement angoissante ou l´avenir idyllique promit par la Silicon Valley se transforme en un véritable délire apocalyptique. Est-il deja trop tard ou avons nous toujours la possibilité de négocier avec les machines?
Vivarium est un texte merveilleux rempli tout à la fois de poésie, de délicatesse et de sensibilité. Délaissant le roman Tanguy Viel s´essaye avec justesse et beaucoup de talent à un exercice totalement inédit. Vivarium se compose et se décompose au fil des souvenirs et des émotions de l´auteur, pensé comme un récit à multiples entrées qui fourmille d´impressions et de ressentis mêlant réalité et flashbacks remontant de son enfance, nostalgie des paysages traversés et citations d´auteurs qui l´ont accompagné tout au long de sa vie. Au final, un texte hybride follement original qui nous transporte dans et hors du monde, de son monde.Tanguy Viel recherche l'absolue vérité, la sienne et aussi celle des autres à travers l´exactitude des mots et des phrases .Un joyeux bazar qui nous propulse dans une multitude d´univers avec force et douceur à la fois et nous dit combien le verbe est essentiel.Tour à tour spectateur, acteur, lecteur, ou écrivain il nous promène avec un bonheur immense à l'intérieur de son univers si attachant. Il nous conte la vie telle qu´il l´a vécue et la vit aujourd´hui. Une tentative audacieuse qu´il a réussi à mettre en forme. Essai transformé.
Au cours d´un voyage en train sur fond de fin du monde, Clothilde fait défiler ses souvenirs les plus intimes. La découverte de la littérature, les violences conjugales et le féminicide de sa mère, sa dépression ,son premier amour. Tout se bouscule dans sa tête pour finalement se cristalliser autour de sa relation avec Guillaume. De la passion des premiers instants à la trahison, une relation qui devient épistolaire avec toujours l´espoir de recommencer. Au fur et à mesure que les gares se succèdent, elle se prépare à l'inéluctable tout en gardant l´espoir. Roman de la passion, de la déchirure ou les blessures du passé s'entremêlent avec les espoirs d´un avenir meilleur, Un superbe road movie ou finalement la fin du monde n'est pas ce qui nous inquiète le plus.
90 pages pour dire L´amour simplement, sans tambours ni trompettes. Dans ce court récit, Bégaudeau nous raconte l´histoire des Moreau, Jacques et Jeanne issus tous deux de la classe ouvrière qui vont vivre ensemble 50 ans durant. L´amour débute dans les années 70 et s´étiole paisiblement, jours après jours sans heurts avec ses joies, avec ses peines. Dans ce texte d´une infinie tendresse, Bégaudeau détaille avec minutie ces petits gestes du quotidien, les manies de chacun, les délicates attentions, les agacements sans jamais tomber dans la caricature. Il nous dit avec justesse ce que nous savons déjà de l´amour qui dure dans le temps. Bégaudeau réussit le pari de nous surprendre là où nous pensions que tout avait été dit ou écrit. Et s' il possédait les clés de l´amour vrai et durable.
Versailles dans les années 60, un milieu bourgeois où se croisent un père absent, une mère hystérique et une fratrie en perpétuels conflits.Tous les ingrédients sont réunis pour que Jacques Bauchot l'héroïne qui s´exprime à la première personne nous fasse vivre son enfance cabossée entre rêves, espoirs, peurs et maladie. Ce nouveau roman de Richard Morgiève nous prend dès la première ligne pour ne plus nous lâcher. Un flot incessant ou situations cocasses, drôles et terriblement réalistes se succèdent sans jamais montrer le moindre essoufflement. Un style inimitable, un rythme effréné et une précision diabolique font de La Fête des Mères un roman inclassable et totalement addictif Richard Morgiève confirme une nouvelle fois qu'il est un très grand romancier trop souvent et injustement sous-estimé.
Depuis Citoyens clandestins (Grand Prix de littérature policière 2007), DOA ? pour
Dead On Arrival ? réussit à nous emmener à chaque fois en territoire méconnu, comme si
nous y étions. Rétiaire(s), son nouvel opus paru dans la Série noire de Gallimard, nous plonge
au c?ur du trafic de drogues dans la banlieue parisienne, tant du côté des services de police,
des narcotrafiquants, ou encore de l?administration pénitentiaire.
Comme toujours chez DOA, rien n?est laissé au hasard, tout est décrit de façon
millimétrée et ultradocumentée. Le rythme haletant donné au récit, où se contrebalancent
sans cesse les perspectives des différents protagonistes, ne laisse au lecteur que peu de
répit. Qu?il se place du côté des Cerda, le clan yéniche, ou de l?OFAST, l?office antistupéfiants
opérationnel depuis 2020, DOA maîtrise totalement son sujet. Plongée sans concession dans
l?univers ultra-violent du narcobanditisme, Rétiaire(s) est un polar passionnant et
terriblement efficace.
Troisième roman du double lauréat du prix Pulitzer, l'histoire nous transporte dans le Harlem des années 60 ou l?anti-héros Raymond Carney, petit filou notoire se démène dans de multiples combines et plans minables en essayant tant bien que mal de tirer son épingle du jeu.
Comme toujours chez Whitehead il y est question de lutte des classes, de droits civiques et de racisme. Comment être noir et pauvre dans une societé américaine gangrenée par la corruption ou seul compte le pouvoir de l?argent ? Comment survivre dans une société ou même vos frères noirs vous trahissent ? Comment rester honnête et ne pas franchir la limite et basculer chez les truands ?
Les trois parties du livre placent Harlem au centre du récit, personnages hauts en couleurs, braquages, coups bas, trahisons se succèdent à un rythme effréné.
Pour la première fois Whitehead s'essaye au polar et c?est une totale réussite .
Il est de ces premiers romans que l'on attrape au coin d'une table bien souvent pour leur titre accrocheur. On lit la quatrième de couverture et on se laisse surprendre par les premières pages pour finalement ne plus le lâcher. Cette première tentative est un coup de maître où argot banlieusard et poésie se mélangent pour donner au récit un rythme haletant et nonchalant à la fois. L'histoire d'une bande de jeunes ayant tous grandi dans la même cité qui vont devoir faire face à l'innommable, la perte de l'un des leurs abattu d'une balle dans le dos lors d'une intervention de police. Nombre de livres portent sur le quotidien des banlieues ; ce sont souvent des premiers romans écrits dans l'urgence avec l'envie absolue de coller au plus près de la réalité. Il y a quelques années c'était "Fief" de David Lopes (Prix du Livre Inter ) puis Fatima Daas et "La petite dernière" (Prix Inrockuptibles)Cette année, Diaty Diallo pourrait être la très bonne surprise de la rentrée littéraire!
Le retour très attendu de Virginie Despentes quatre années après la parution du dernier volume de la trilogie Vernon Subutex. Ce roman épistolaire où se croisent Oscar, écrivain en quête de reconnaissance, Rebecca, sublime actrice la cinquantaine passée et Zoé, feministe très présente sur les réseaux sociaux. Le livre commence par une lettre d'insulte que Rebecca adresse à Oscar suite aux accusations de harcèlement de Zoé ; cette missive sera le déclencheur d'une série d'échanges hauts en couleur entre l'écrivain et l'actrice. Mais progressivement les tensions se dissipent et le dialogue devient possible. Tous les sujets propres à Despentes sont abordés et des tumultes du départ naît une grande histoire d'amitié. Avec une précision diabolique, elle dissèque les travers et angoisses de notre société post #MeToo. Elle parvient finalement avec beaucoup de douceur et de tendresse à délivrer un message d'apaisement. Le premier blockbuster de la rentrée est une jolie réussite !

Emmanuel Carrère a suivi intégralement le procès pour l?hebdomadaire L?Obs. Un témoignage bouleversant sous forme de chroniques où l'auteur excelle lorsqu?il parle des autres : les victimes, les anonymes, les proches, mais aussi les bourreaux. Comme dans cet autre roman intitulé ?D?autres vies que la mienne?, il pose un regard, des mots d?une profonde sensibilité sur des sujets d?une immense tristesse. Son analyse et son interprétation des moments passés sur les bancs du tribunal sont d?une absolue précision. Que ce soit l?homme ou l'écrivain, il décèle dans l'indicible la petite phrase, la posture et provoque en nous le sentiment de vivre au plus proche ce procès de l'innommable. Une ?uvre forte, puissante. Une fois de plus, Carrère réussit admirablement à retranscrire ces sentiments le plus justement possible. Et nous, lecteurs, sommes traversés par des émotions fortes sans que jamais ne soit altérée notre propre capacité de jugement.

Fondateur du groupe mythique Taxi Girl, producteur pour Madonna, ce génial touche-à-tout s'essaye à 60 ans passés avec beaucoup de talent à l'écriture. Ce roman d'anticipation nous plonge dans un monde ultra-libéral où tout est basé sur la consommation et la prédominance des marques.
D'une marque unique gouvernant toutes les autres va naître la résurgence d'un symbole que l'on croyait pour toujours appartenir au passé. Le pouvoir de l'argent limite toute pensée, la différence, l'originalité, la contestation. Tout est absorbé, lissé, tout est fait pour consommer sans réfléchir. Dans ce monde ou plâne encore les attentats de 2015, le coronavirus et le début de la guerre en Ukraine, nous croisons Lazare, assailli par des visions toujours plus nombreuses, qui lutte pour sa survie mentale et physique dans ce monde déshumanisé où la concentration du pouvoir est toujours plus brutale. Mirwais nous emporte vers notre futur tel qu'il se dessine aujourd'hui si rien n'est fait. Passionant !
Ce nouveau roman de David Mitchell nous plonge au coeur des Swinging Sixties à Londres où nous assistons comme si nous étions en direct à la naissance et l'envol du groupe de Rock psychédélique Utopia Avenue.Tour à tour nous rencontrons les artistes les plus influents de l'époque, David Bowie, Syd Barrett, Brian Jones....Fiction et réel se croisent avec beaucoup d'ingéniosité. Une tournée catastrophique, le Chelsea Hotel, le rêve américain, tout est décrit à la perfection . La force de ce roman est de nous faire vivre ces rencontres et ces situations comme si nous étions un proche d'Utopia Avenue et que tout se passait sous nos yeux. Loin des clichés, David Mitchell évoque avec précision le quotidien d'un groupe en devenir. Il nous plonge dans une époque et un monde avide de liberté et d'aventure mais toujours prisonnier de ses vieux démons.Un roman magistral, haletant qui nous ramène à une époque pas si lointaine partagée entre la beauté du rêve et la dure réalité sociale. Fascinant
Quarante ans après sa "disparition " l'ambitieux projet de George Perec "Lieux" est enfin publié aux éditions du Seuil dans la collection "La librairie du XXIe siècle"
Pendant 12 années l'auteur a décrit 12 endroits de sa capitale , Paris, une description faite en directe et une autre réécrite de mémoire bien des années plus tard.
Au final un texte époustouflant mêlant souvenirs diffus, perception du réel, travail sur la mémoire et sa posture d'écrivain. De la plus belle des manières il nous donne à voir comment son écriture a évolué, comment son rapport au monde, à l'histoire et à la mémoire s'est modifié.Accompagné de notes et de croquis, d'un complément sur internet, la lecture est finalement très fluide et captivante.
Perec devient le témoin privilégié de ces temps passés qui ressurgissent dans le présent .
Ses souvenirs deviennent nos souvenirs, et son réel parfois aussi.
Magistral !!!!!

Écrit à la fin des années 90, ce très court texte d'Annie Ernaux nous subjugue par sa beauté et sa forte puissance évocatrice. Si pour une fois les rôles sont inversés. Elle est dans ce texte la bourgeoise et non plus la jeune fille de province issue d'un milieu modeste. Elle raconte sa passion amoureuse avec un jeune étudiant de 30 ans son cadet. Le texte oscille entre littérature et souvenirs de sa vie réelle. Comme toujours,son expérience,et son propre vécu nourrissent sa création littéraire . Annie Ernaux assume ses choix, ses passions et ses désirs, ses regrets aussi . Tous ses thèmes de prédilection se retrouvent pêle-mêle au fur et à mesure que le récit avance, et ce pour notre plus grande joie. A peine refermé que l'envie de la relire s'impose. Chose faite..Elle nous sert un texte fort et puissant comme elle seule en est capable. À lire absolument. Annie Ernaux est une grande dame de la littérature mais cela nous le savions déjà.
Parce que ce chef d'oeuvre s'inscrit durablement et profondément dans l'atualité. Il est un de ses classiques qui traverse les siecles sans jamais se démoder.
Une plongée sans concession dans la noirceur humaine, le nouveau David Joy est une merveille.
Houellebecqien !!!!
Ce livre est une merveille!
Incomparable, foisonnant, drôle, une nouvelle traduction de ce grand roman de Mordecai Richler, un pur moment de bonheur pour une lecture addictive. "Le monde selon Barney" un antidote à la morosité ambiante, absolument génial.