«Je n'ai jamais été à Rome», écrivait Julien Gracq dans Lettrines 2, et il poursuivait : «Un jour ou l'autre me verra bien sur ses chemins, puisqu'il paraît que tous y mènent, mais qu'y trouverai-je ?» Cette probabilité, envisagée sans excès d'enthousiasme, trouva à se réaliser au printemps 1976. (Bernhild Boie)