La vie d’un sportif de haut niveau est rarement un long fleuve
tranquille. Celle de Gilles Muller ne déroge pas à la règle. Le
meilleur joueur de tennis de l’histoire du Luxembourg est
passé par tous les états en 18 ans de professionnalisme.
Gloire et douleurs raconte ce parcours tortueux. Du règne de
la débrouille à la victoire finale dans un tournoi ATP. De la
recherche constante d’une structure d’entraînement optimale
aux sacrifices à consentir pour atteindre les sommets. Mille
étapes, des centaines d’obstacles à contourner et des choix
de vie.
Comme le bon vin, Gilles Muller a mûri avec l’âge et a fini par
trouver l’équilibre à travers des liens familiaux qui l’on conduit
vers son Graal en 2017 à Sydney avant d’enchaîner par
quelques contes de fée que l’on raconte avec gourmandise
dans cette biographie volontairement déstructurée.
Les parcours abîmés sont les plus intéressants à explorer. Celui
de Gilles Muller est cabossé. Singulier au possible. Fait de
cimes et de creux. De légèreté et de gravité. D’espoirs et de
doute. D’incompréhension et de tolérance. L’enfant terrible du
tennis luxembourgeois s’est souvent attiré les foudres pour
avoir quitté un sentier balisé qui ne lui correspondait pas. Il
aurait pu déposer ses raquettes et rentrer dans le rang. Il a
persévéré contre vents et marées. Les critiques ont ruisselé sur
une carapace qui s’est endurcie au fil des saisons et l’éclaircie
est arrivée quand plus personne ne l’attendait. Une revanche ?
Peut-être sur le destin qui ne l’a pas toujours épargné mais
avant tout un épanouissement familial qui restera le meilleur
souvenir de sa carrière.
tranquille. Celle de Gilles Muller ne déroge pas à la règle. Le
meilleur joueur de tennis de l’histoire du Luxembourg est
passé par tous les états en 18 ans de professionnalisme.
Gloire et douleurs raconte ce parcours tortueux. Du règne de
la débrouille à la victoire finale dans un tournoi ATP. De la
recherche constante d’une structure d’entraînement optimale
aux sacrifices à consentir pour atteindre les sommets. Mille
étapes, des centaines d’obstacles à contourner et des choix
de vie.
Comme le bon vin, Gilles Muller a mûri avec l’âge et a fini par
trouver l’équilibre à travers des liens familiaux qui l’on conduit
vers son Graal en 2017 à Sydney avant d’enchaîner par
quelques contes de fée que l’on raconte avec gourmandise
dans cette biographie volontairement déstructurée.
Les parcours abîmés sont les plus intéressants à explorer. Celui
de Gilles Muller est cabossé. Singulier au possible. Fait de
cimes et de creux. De légèreté et de gravité. D’espoirs et de
doute. D’incompréhension et de tolérance. L’enfant terrible du
tennis luxembourgeois s’est souvent attiré les foudres pour
avoir quitté un sentier balisé qui ne lui correspondait pas. Il
aurait pu déposer ses raquettes et rentrer dans le rang. Il a
persévéré contre vents et marées. Les critiques ont ruisselé sur
une carapace qui s’est endurcie au fil des saisons et l’éclaircie
est arrivée quand plus personne ne l’attendait. Une revanche ?
Peut-être sur le destin qui ne l’a pas toujours épargné mais
avant tout un épanouissement familial qui restera le meilleur
souvenir de sa carrière.